Où il est question de la solidité des liens d’amitié, d’avoir « un gars sûr », d’ami.e.s de longues dates et des liens à distance, d’être le seul noir dans une classe de blancs, de ne pas trop se sentir à sa place – mais ça va quand même, de « racismo no », de « la différence qui est si jolie » et de Salif Keïta, de la difficulté d’expliquer le handicap, de la peur de blesser, des handicaps invisibles, des stéréotypes sur les personnes handicapées et de la gêne que les médias nous ont inculquée, de se marcher les uns sur les autres ou de faire équipe, du lien entre les pompiers, des affrontements pour rire autour du sport, de la transition entre collège privé et collège public, de l’adaptation comme caractéristique essentielle de l’être humain et de la confiance que personne ne peut avoir pour toi.

Dans le cadre d’ateliers théâtre au lycée Baudelaire de Meaux, en partenariat avec le théâtre du Luxembourg.
Avec Élias, Henri-Eugène, Noah, Maëlla, Loan, Salif et Marius.